Yoarashy marchait dans Calëhistë. Dans la citée, depuis plusieurs semaines, ne reigné que silence et désolation. Rare sont les habitants qui sortaient, et rares sont les étrangers de passage ici.Quelques fois, on pouvait entendre, au loing, le lourd pas des soldats qui faisaient leurs rondes. Même si le village était presque a cent pour cent protégé par des centaines de soldats et des systemes de défenses infaîbles, tout le monde avec la crainte au ventre. Crainte d'une guerre innutile et sans precedent...
Il marchait donc tranquillement dans la citée quand il décida d'aller se changer les esprits, plus loing, la ou seul le courant de la riviere discute avec le bruissement des feuilles.
Il passa la grande muraille, faisant un signe amical aux gardes frontieres, puis alla lentement vers des endroits moins rudes. Petit a petit, il enlevait son attiraille lourd et chaud.Au loing, il voyait deja la petite foret paisible qu'il aimait tant. Il s'en approchat par un sentier de terre traversant d'immense champs de coquelicot. La, arreté a l'auré, il entendait deja le chant de l'eau dans son lit de glaire qui l'appellé.Il entra dans la foret, foret qu'il connaissait par coeur lorsqu'il était jeune. Cela faisait longtemps qu'il n'y était pas entré. Il retrouva son chemin favori et s'enfonca discretement dans l'antre vert. Au bout d'un moment, il tomba nez a nez avec le Ruisseau Ogan. Il n'avait pas changé. Toujours le même debis. Toujours le même niveau. Toujours le même bruit.
Il s'avanca et s'assit sur un rocher pres de l'eau. Il regarda le ciel, qu'il ne distinguait que par quelques rayon de soleil qui arrivaient a traverser la masse de fueillage.L'un d'eux lui rechoffa excellement le visage. Il ferma les yeux et se laissa rever.
Au bout d'un certains temps, il trempa sa main dans l'eau. Il avait oublié combien elle était chaude. Il se mit a faire des aller et retour avec sa main dans l'eau. Elle suivait parfaitement le mouvement de sa main...
Fatigué, fatigué de proteger et de se battre, il se coucha sur le petit espace de d'herbe qui avait réussit a se faire un espace. Il songea a un monde paisible, ou ses parent seraient toujours la, et ou la guerre n'existerais pas. Ou les gens n'auraient pas peur, peur de mourir ou de voir mourir. Il songea tellement qu'il s'endormit.
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